Katy Perry : accusée de plagiat et combien doit-elle payer à un rappeur
Katy Perry : partie dans une affaire de plagiat
Lorsqu’en 2008, le rappeur Marcus Gray, au pseudonyme artistique Flame, a créé le morceau Joyful Noise, il ne se doutait pas de son destin ultérieur.
Selon certaines agences internationales, un tribunal de Los Angeles a condamné la chanteuse américaine Katy Perry et ses co-auteurs de payer 2,78 millions de dollars au rappeur mentionné. Il réclame une récompense pour des pertes et des dommages car on trouve des motifs de sa chanson Joyful Noise dans le tube de Katy Perry Dark Horse. En même temps, la chanteuse qui n’était pas présente au procès affirmait de n’avoir jamais entendu la chanson de Marcus Gray, alias Flame.
Katy Perry dans un interview télévisé
Un triomphe durant les années
Deux chansons, un procès
En effet, le jury annonce sa décision unanime cinq ans après que le rappeur et deux co-auteurs ont entrepris un procès contre Perry. Notamment, ils accusent Katy Perry d’avoir volé le rythme et la plupart de la partie instrumentale du morceau de Marcus Gray.
Vraiment, Dark Horse est devenue un tube absolu dans l’album Prism en 2013. La composition a tenu quatre semaines au sommet de la hit parade du magazine Billboard. Par conséquent, en 2015, on a nommé la chanson de Katy Perry pour le prix Grammy dans la catégorie de meilleure interprétation en duo et en groupe.
Elle triomphe sur scène depuis des années
Son partenaire Orlando Bloom à côté
Malgré le succès, la chanteuse doit payer au rappeur 20% de toute la récompense. Cela représente 550 000 de dollars tandis que le reste sera partagé entre la maison de disques Capitol Records, ses producteurs et co-auteurs.
Auparavant, Marcus Gray et son équipe revendiquaient la somme de 20 millions de dollars. Ils prétendaient que le groupe de Perry à dérobé 41 millions de dollars de gains.
Actuellement, personne ne sait exactement quelle somme sera versée par les membres du groupe de Perry.
Elle est excentrique
Aucune possibilité d’éviter la sanction financière
Quoique les avocats de la chanteuse aient affirmé que les éléments du riff étaient simples, ordinaires et applicables par tous les compositeurs, la défense a ignoré leurs arguments.
Au fait, le jury, composé de neuf membres, a analysé les deux pistes et entendu pendant des heures de la musique et les témoignages des spécialistes du son. Finalement, il s’est prononcé en faveur du rappeur.