Comment créer un jardin vivant pour préserver la biodiversité ?

On La sauvegarde de la biodiversité est un des problèmes majeurs de notre temps. Les espèces habitant nos jardins sont menacées de disparition suite aux pratiques du jardinage contemporain (désherbage, utilisation d’engrais chimiques, nivellation artificielle de terrain…). Effectivement, les participants à la chaîne alimentaire sont responsables de la qualité de la nourriture, de l’eau et de l’air. Pour considérer le jardin comme un micro-univers, il faut bien comprendre les principes d’aménagement et d’entretien durable des espaces extérieurs selon les zones géographiques. C’est quoi le jardin vivant qui fait partie du système de vie global ? Comment y protéger la nature ? Vous en découvrirez les directives dans le texte ci-dessous.

C’est quoi un jardin vivant ?

L’équilibre dans notre jardin repose sur le principe du développement de la vie en général – la chaîne alimentaire. Elle fonctionne grâce aux interactions entre les différentes catégories d’organismes : producteurs, consommateurs et décomposeurs.

Les jardins appelés « vivants » sont riches en biodiversité. Ce sont de petits coins de nature peuplés d’une flore et d’une faune locales et rustiques. Une tâche importante est de les aménager de manière esthétique, respectant les particularités de la région. Projet assez complexe, exigeant des compétences spécifiques. Donc, la création et l’entretien d’un tel espace implique parfois la participation d’une société spécialisée paysagiste. Ce type d’entreprises initialisent et effectuent en effet tous les processus – examens, conception, aménagement et entretien des terrains verts. Tout ça, bien sûr, dans un cadre écologique. Les équipes de professionnels vous accompagneront dans vos démarches de certifications environnementales. De plus, ils vous proposeront une réalisation sur mesure de vos attentes. Grâce à des entreprises telles que Sauvaje, dont vous pouvez consulter les services ici, vous pourrez obtenir le jardin de vos rêves en quelques clics.

Les avantages d’un jardin vivant

• Écologiques et pratiques : La végétation et les espèces animales sont appropriées au climat et au sol, ce qui facilite l’entretien des zones et diminue l’utilisation d’eau et d’engrais.
• Esthétiques : On conserve les caractéristiques naturelles des terrains et les met en valeur.
• Respect de l’environnement : L’aménagement d’un jardin vivant est étroitement lié au développement durable.

Que faire pour attirer une variété d’espèces dans le jardin ?

Grâce à la diversité d’un système, on assure une stabilité, tout en réduisant les problèmes de parasitisme et la concurrence pour la nourriture. Dans ce but, on recommande des activités pour attirer un plus grand nombre d’espèces vivantes. Le résultat est une stimulation des interactions et une augmentation de la productivité au sein de la zone.

Installer des abris d’insectes

Entassez des branches, des feuilles sèches et des souches pour donner la possibilité à certains insectes pollinisateurs à s’y installer. Les « hôtels » sont à orienter dans la direction sud-sud/est.

Fabriquer des nichoirs et des mangeoires d’oiseaux

En effet, les oiseaux jouent un rôle de régulateurs dans la nature car ils mangent certains ravageurs comme les chenilles, les pucerons et les escargots. Alors, mettez en place des mangeoires pour leur assurer de la nourriture dès novembre à février, lorsque le climat n’est pas très favorable. Installez également des niches pour permettre aux oiseaux de se protéger du froid et de la pluie.

Bassins d’eau

Parfois, il est difficile de trouver de l’eau. En construisant un bassin, un marais ou simplement un bac à oiseaux, vous pouvez inviter les plumeux à venir dans votre coin de verdure. De cette façon, des bestioles comme grenouilles, crapauds et libellules se sentiront les bienvenus dans ce petit paradis.

Plantation de végétaux variés

En réalité, ce sont les végétaux d’origine locale qui favorisent le développement d’insectes et attirent les chauves-souris, les oiseaux insectivores et les animaux terrestres. En outre, la cultivation d’un jardin vivant suppose la gestion des surfaces de manière écologique et durable, généralement sans produits chimiques et avec peu de fertilisation. La biodiversité maintenue de cette façon est essentielle pour les cycles de l’eau, du carbone, de l’azote, etc. Bref, on crée une zone qui est en développement permanent.

En conclusion, on peut affirmer que les responsables de la conservation de la biodiversité et du développement des régions sont les autorités locales. Dans la liste, il y a aussi les gouvernements, les administrations locales, les organismes écologistes, les sociétés et les propriétaires privés. Par exemple, dans les entreprises contemporaines, spécialisées dans l’agriculture et l’aménagement paysager, on met de plus en plus en avant des stratégies d’utilisation durable. Cela responsabilise les personnes concernées d’exploiter modérément les ressources biologiques et de veiller à la reproduction des espèces.